Moto Maquette Yamaha YZR-M1 (2005) C. EDWARDS Grand Prix de Laguna Seca ( USA )

Maquette Yamaha YZR-M1 (2005) - Tamiya N°12104

 

Version de la machine de C. EDWARDS au Grand Prix de Laguna Seca ( USA ) -2005

(rédaction – photographies - montage: L. BOUYSSE - 07/2015)


 

 

 

 

La moto :
Pour le cinquantenaire de la création de la YAMAHA MOTOR COMPANY, à l’occasion du grand prix de Laguna Seca, 8ème manche de la saison 2005, la Yamaha M1, de l’équipe satellite(*) française TECH 3 dirigée par Dominique PONCHARAL dans le championnat du monde de Moto GP, a revêtu ces couleurs si particulières et pourtant si évocatrices pour les amateurs de grand prix motos.
Mr PONCHARAL est quand même le président de l’I.R.T.A., (International Road Racing Teams Association) ; autrement dit, le président de la moto sous toutes ses formes dans le monde. Fermeture de la parenthèse.
En effet, ces dernières étaient celles que portait la Yamaha YZR 500 de Kenny Roberts, dit le KING, lorsqu’il a obtenu ses trois titres consécutifs de champion du monde de la spécialité (en 1978 – 1979 – 1980).
Pour rappel, lors de cette course, Colin Edwards finira second et Valentino Rossi terminera troisième.
A la fin de la saison, Rossi conservera son titre de champion du monde de la catégorie (son 5ème en catégorie reine) et Edwards se classera à la 4ème place du championnat.
De son côté, YAMAHA coiffera la couronne chez les constructeurs.

(*)EXPLICATIONS POUR EQUIPE SATELLITE :

On appelle, en Moto GP, une équipe satellite ou un team satellite, une écurie « parallèle »qui est reconnue par le team officiel.
En effet, celle-ci dispose, moyennant finance, du même équipement, de l’année, que l’écurie d’usine, mais un cran en dessous cependant ; en effet l’écurie officielle dispose en priorité du plus récent.
De par son statut, l’écurie satellite participe aux essais avec cette dernière et progresse mieux qu’une écurie privée qui elle disposera de la moto de l’an passé, de l’équipement afférent et d’une logistique moindre.
Dans les 2 cas, Seuls les moyens financiers, permettent à une équipe plutôt qu’à une autre d’être reconnue « satellite ».

 

YAMAHA YZR M1 Digest :

·  Moteur :     4-cylindres en ligne 4 temps  16 soupapes de 990 cm3

·                      Puissance: env. 240 chevaux

·                      Électronique : Yamaha / Magneti - Marelli

·  Cadre :       cadre  de type Deltabox (double poutre en alu)

·  Suspensions :

            AVANT :       fourche inversée Öhlins entièrement réglable

            ARRIERE : Bras oscillant avec simple amortisseur Öhlins entièrement  réglable

·  Freins :

            AVANT :       2 disques de 320 mm en carbone / étriers monobloc 4-pistons Brembo (montage radial)

            ARRIERE : simple disque de 220 mm en acier

·  Transmission :       6 vitesses séquentielles  avec boite de vitesses de type à cassette

·  Dimensions :          Longueur :                2060mm

                                   Largeur :                     650mm

                                   Hauteur :                   1150mm

                                   Empattement :          1450mm

 

·  Poids:         150 kg (sans pilote)

 

 

 


Le Pilote

Colin EDWARDS, alias « Texas Tornado” est né en 1974.

Il débute la compétition moto par le motocross U.S dont il devient champion puis il décide de se tourner vers la vitesse sur circuit.C’est ainsi qu’après avoir entamé sa carrière de pilote professionnel, au début des années 90, en championnat A.M.A (American Motorcyclist Association, l’équivalent de notre fédération française de moto), il décroche le titre en catégorie 250 cm3 (1992). Il continue d’ explorer ce dernier en passant dans la catégorie SUPERBIKE où après 2 années «moyennes», il décide de franchir le pas et de venir se frotter au « gratin » mondial de la spécialité (WSBK) en 1995; d’abord avec Yamaha puis chez Honda.
Pour rappel, ce championnat se différencie du championnat MOTO GP par la participation dans ce dernier, de modèles proches de modèles de la série contrairement aux prototypes qui roulent en Grand prix Moto GP.
Il décrochera le titre, dans cette catégorie, par 2 fois, en 2000 et 2002. Il intègrera le championnat du monde de vitesse, en 2003, en débutant chez APRILIA, au guidon d’une APRILIA RS CUBE. Cette saison se soldera à une 13ème place finale au classement suite au peu de fiabilité de la machine (en effet, la moto en est à ses débuts) ainsi qu’à une adaptation entre 2 catégories différentes (MOTO GP/ WSBK), car bien que similaire « esthétiquement », les machines sont complètement différentes dans leurs styles de pilotage !
La suite est meilleure pour Colin, qui par ses talents de metteur au point et de pilotage, fera aller dans le bon sens ses résultats et intégrera, ainsi, un top team, en l’occurrence le team officiel Yamaha.
Cette première année de collaboration se soldera par une 5ème place finale; comme quoi, ce n’est pas un manche quand même !
Cependant, il sera remplacé dans le team par Jorge LORENZO (champion du Monde de la catégorie en 2010 et 2012); mais il sera cependant conservé dans le team Yamaha au sein de la structure satellite, TECH 3, en tant que coéquipier de Valentino ROSSI.
Ses bons retours techniques seront un atout précieux pour Yamaha qui décrochera le titre constructeur et aidera ROSSI à décrocher le sien, cette même année (2005).
En 2010, il quitte Yamaha pour intégrer le rang des pilotes de la nouvelle catégorie C.R.T (Claiming Rules Teams), une catégorie nouvellement créée par la DORNA (organisation internationale qui gère le MOTO GP, entre autre) afin d’abaisser les coûts d’exploitation pour les teams mais aussi pour en faire venir de nouveaux. Hélas, les résultats ne seront pas à la hauteur de ses espérances et fin 2014, il quittera les rangs des engagés.
Sa personnalité extravertie et sa sympathie ont fait de lui un personnage aimé dans les paddocks et estimé de ses pairs ; de même que ses bons retours techniques l’ont fait apprécier de ses ingénieurs de piste.

Colin EDWARDS Digest (MOTO GP):
Naissance le 27/02/1974 à  HOUSTON (TEXAS – USA)
1er grand prix : Japon 2003
1ère pole position : France 2007
1er meilleur tour en course : Angleterre 2004
5 fois 2ème / 7 fois 3ème / 12 podiums / 3 pôles positions / 3 meilleurs tours en course
Constructeurs avec qui il a couru :
APRILIA - 2003 / HONDA - 2004 / YAMAHA – de 2005 à 2011
SUTER - 2012 (CRT) / FTR KAWASAKI – 2013 (CRT)
FORWARD YAMAHA – 2014 (CRT)

Son numéro:

 

Les présentations étant terminées, passons maintenant au montage de la maquette proprement dit !

 

Le montage :                                                                         

A l’ouverture de la boîte, on ne se sent pas perdu et on retrouve tous les repères qui ont fait de Tamiya, la marque qu’elle est ! Toutes les pièces sont sur grappes moulées en couleur suivant leurs utilisations, enfin pour ceux qui ont déjà monté du Tamiya, ils comprendront ; les autres vous savez quoi faire si vous êtes curieux !  Par contre, les décalques ne devraient pas poser de problème car c’est le fabricant italien Cartograf qui s’est chargé de leurs réalisations et là on est dans du bon !
Cela changera de celles qui étaient fournis avec la Honda « MOVISTAR » (ITEM 14094) de KATOH qui de par leur raideur m’ont bien pourri le montage de celle-ci.
Sinon, je me rapproche de ma « banque de données » personnelle pour les photos concernant les parties mécaniques; en l’occurrence le livre  « PIT WALK » N° 8,qui bien que présentant des modèles de l’année suivante, ces dernières me serviront à peaufiner ce qui doit l’être.
Nota : Pour une simplification, sachez que le matériel utilisé sera du Tamiya de même pour la peinture utilisée Tamiya, soit du Humbrol.

 

Etape 1 :

La pièce J36, soit le bas moteur et le carter d’huile et pièce J32. D’après mes photos, cet ensemble est de couleur claire et non comme indiqué sur la notice ; aussi, j’utilise un mélange à base de 2 doses de 119 (H) plus 2 doses ¾ de 28 (H). La visserie de la pièce J32 est en alu - 11 (H). La pièce J9 est percée avec un forêt, diam 0.5 mm. La pièce J23est recouverte de carbone « maison ». Je m’explique, j’apprête d’abord celle-ci puis lui passe une couche d’alu, en bombe ; ceci fait, je « drybrushe » en noir puis recouvre le tout de smoke (X-19) (T).Sinon, pour le reste, je me rapproche des photos du livre et apporte les modifications nécessaires, que j’aurai relevé, qui peuvent s’avérées nécessaires à cette échelle.

 

Etape 2 :

La pièce A37 est recouverte de carbone maison ; sinon je me réfère au plan.

 

Etape 3 :
Sur les hauts de fourreaux de la fourche, pièce J12 et bien qu’utilisant les pièces en photo-découpe, du set Tamiya 12613, je masque le bas de ces 2 pièces avec de la bande cache Tamiya puis je peins en titanium alu « maison », soit un mélange de 2 doses d’alu (11) (H) et une dose de doré (16) (H).
Une fois sec, je fais un jus de noir pour faire ressortir les trous du dessus. Les « bracelets » de guidon devant être recouverts de mélange X-10 et X-31 (T), le sont là aussi avec un mélange maison, soit un mélange de 1 part de gris acier 53 (H) et comme précédemment pour le X-31, de 2 parts de doré et 1 part d’alu. Juste pour le fun, j’ai représenté, avec une pointe de cure dent, en couleur, les différents boutons qui sont sur le guidon.

                                                                                                                

 

Vue du poste de pilotage

 

L’étape 4 est le montage du moteur dans le châssis.

 

 

 

Après assemblage des 2 demis carénages arrière, les lignes de joint sont mastiquées au Putty (T) , puis poncées jusqu’à obtention d’un ensemble uni et sans marques de raccord ; Ceci est ensuite lavé puis reçoit une couche d’apprêt. La peinture de l’intérieur du carénage est d’abord réalisée en noir mat (33) (H) ou TS 6 (T).Je procède ainsi car une fois ceci réalisé, il sera plus aisé de confectionner un masque afin de passer les couches de jaune TS 47(T).
Les pièces G12/G22 et l’attache de la pièce G21sont recouvertes de carbone maison. Cette étape se termine par la pose des décalques .

 

Etape 6 :

 

Afin d’obtenir une ligne d’échappement « nickel », point de vue assemblage, je procède ainsi:
Après collage des sous ensembles, je passe, avec une spatule de dentiste, du Putty (T), sur les lignes de joint de celle-ci. Ces dernières seront poncées afin d’obtenir une tubulure unie et exempte de raccord.
Après nettoyage et apprêtage de celle-ci, je l’ai peinte suivant une recette que je viens de découvrir car je ne possède pas d’aérographe (aggghh sacrilège ! entends je !).
Il se trouve qu’en moto Gp, on ne lésine pas sur l’emploi de matériaux exotiques et la ligne d’échappement n’y échappe pas, c’est ainsi que cette dernière se verra recouverte d’une peinture titanium silver (X-32) (T) mais cette teinte n’existe pas en bombe et comme dit plus non n’étant pas possesseur d’aérographe, il a fallut que je feinte !
Après avoir réalisé des essais, je me rends compte que je peux m’approcher de cette teinte en procédant ainsi ; tout d’abord je passe une couche de noir semi brillant,TS 29 (T) ; cette dernière sèche, je passe une première couche de doré (TS21) (T) suivi, IMMEDIATEMENT, d’un voile de PS48 (T) ( semi gloss silver anodized aluminium, ouf ! ).
En effet, lors du séchage simultané de ces 2 peintures, elles s’unissent pour donner une teinte qui varie suivant comment vous la regardez. Elle peut être couleur alu à un endroit et sans changer de position la couleur doré apparaîtra ailleurs !
Je laisse sécher bien comme il faut afin de procéder à « la chauffe » des parties qui en ont besoin (coude, jonction pot d’échappement/ligne) ; puis je passe un voile de« smoke » PS 31(T) afin d’atténuer ces dernières.Hélas pour moi, le résultat obtenu pour la ligne d’échappement est perdu sous le voile de « smoke », tant pis !
On finira cette étape par la pose des décalques carbone sur le silencieux, sauf le N° 37 qui sera remplacé par mon carbone maison


 

 

Etape 7 :
Je me suis rendu compte à l’étape 13 (!) que si l’on procédait au montage du carénage arrière afin de fixer le pot et la ligne d’échappement, ben ! le montage du sous ensemble «pneu arrière – bras oscillant » s’avérerai des plus ardus sauf si on a suivi des cours de gynécologie.Donc, moi perso, j’ai préféré démonter celui-ci, après de longs moments de combat pour fixer le bras oscillant, afin de ne pas attraper une crise de nerfs.

Les photos présentées illustrent les étapes 5-6-7.

 

Etape 8 :

Le traitement du radiateur a été fait suivant les instructions données par la notice. J’ai juste pratiqué un jus de noir afin de faire ressortir les grilles de ventilation de ce dernier.
Illustration du travail sur le radiateur et les différents raccords s’y connectant.


 

Etape 9-10-11 :

Je suis la notice pour cet ensemble d’étapes sauf au niveau des teintes utilisées. Il en va ainsi pour la pièce J25/J26 réalisée à partir de mon X-32 maison. La chaîne de transmission finale est faite suivant les indications données par contre les tenons des maillons de cette dernière sont repris en 85 (H). Un jus de noir est ensuite appliqué, bien que sur ce genre de machine, les pièces soient quasiment neuves et propres de grand prix en grand prix. Le « lèche –roue » arrière est traité avec mon carbone maison ; bien que d’autres solutions existent, je le reconnais. A l’étape 10, les lignes de joint du bras oscillant sont mastiquées puis poncées.Le clou du spectacle vient du perçage, manuel, des 66 trous du disque arrière, réalisés avec un forêt de 0.4 mm de diamètre; afin de donner un meilleur rendu que la matérialisation de ces derniers par un simple passage de peinture noire.
Je sais, je suis un fou mais j’assume entièrement ! ( NDLR Je confirme )



 

 

Etape 12 :

 

La prochaine fois, je mets la pièce J24 en même temps que le combiné ressort/amortisseur, car j’ai subi une certaine augmentation de mon énervement pour fixer ladite pièce sur le combiné (voir étape 9) déjà placé.Sinon, ceci dit, concernant le décalque «  Öhlins », bien noter son sens avant de le poser définitivement.Les marquages « Michelin », sont posés symétriquement au pneumatique, de façon « miroir », bien que ceux soient des décalques secs, je les place comme de simples décalques ; attention cette opération est très délicate et peut détruire ces derniers !

Etape 13 :

Rien à dire , il suffit de suivre le plan de montage.
 

Etape 14 / 15 / 16 / 17 / 18 :

Nous allons, dans ce groupement d’étapes, nous intéresser au montage du train avant.
Tout d’abord, les déflecteurs reliant le bout du tube plongeur au fourreau de fourche, pièces A17 et A18, sont peints carbone maison, pour le reste on ne change rien. Pour le reste du traitement de ceci, suivre la notice, en faisant toutefois attention si vous avez achetez le kit de photo-découpe, comme moi, de remplacer la pièce A10, par l’amortisseur de direction inclus dans ce dernier. Ainsi, pour l’amortisseur de direction, son montage s’avérera plus aisé si vous procédez ainsi :
Ce dernier  sera réalisé selon les directives de la notice du kit d’amélioration :
Après l’avoir peint, fixez le corps représentant le fourreau à la nouvelle pièce remplaçant la pièce A10 ; attention cependant à ne pas la fixer fortement afin de laisser l’ensemble V1/V2 bouger.
Cela permettra de trouver la bonne direction pour le vérin ainsi que la bonne longueur pour fixer la tête de ce dernier au trou sur le cadre qui lui est prescrit !
Sur les étriers de freins, les sigles « Brembo » sont repris en rouge 19 (H) et non par les décalques fournis.
Je trouve que cela fait mieux ! Le seul écart que je me suis permis, par rapport à la notice va pour les roues de la béquille de stand, que j’ai représentées en jaune plastique (combinaison de 11 (H), pour le fond et de « jaune translucide » 1322 (H) ).
Bon, là c’était juste pour le fun et ainsi essayer d’assortir ces dernières aux couleurs  prédominantes de la moto!

 

 

Etape 20 / 21 / 22 / 23 :

Pour ce qui est de l’étape 19, celle-ci se passe de commentaires ; simple montage de durits de freins et d’embrayage. Pour ce sous ensemble par contre, qui est la mise en peinture des différents éléments constituants le carénage, les flancs de carénage, bas de carénage, réservoir et la selle , je procède ainsi mais là aussi, chacun est libre de faire à sa guise.
Je rappelle que sur une moto de grand prix, les pièces constituant l’habillage sont en carbone pour la plupart mais pour des raisons de simplifications de peinture et parce qu’aussi je ne cherche pas la « petite bête », je ne traite pas ainsi ces dernières comme vous le verrez par la suite.
La pièce G1 est peinte en jaune TS47 (T). L’intérieur est traité en noir mat 33 (H), en 1 ou 2 couches, suivant la profondeur désirée.L’admission de la boite à air (Pièce G2) est réalisée en carbone maison.Pour la pièce G16, on masque le dessous puis on peint en TS 47 (T), l’intérieur de celle-ci sera peint en noir mat 33 (H).
L’ensemble réservoir (pièces G14-G17-G19) sera peint en TS 47 puis un masquage sera réalisé afin de peindre la partie qui le nécessite en noir semi brillant 85 (H).
Pour la mise en peinture des flancs de carénage (pièces G9-G5 / G6 – G10), je débute par la mise en peinture de l’extérieur de ces derniers, en jaune TS 47 (T), après un premier masquage des parties le nécessitant. Nous sommes début juin et vous verrez que malgré le fait que j’ai laissé sécher une bonne semaine avant de peindre l’intérieur en noir semi brillant TS29 (T) en masquant l’extérieur ; j’ai eu la désagréable surprise de voir mon jaune pourtant sec s’arracher au niveau d’une arête de carénage, lors du retrait du masque pour les bords de carénage! …agggh, complètement dég !!!! mais tant pis, la prochaine fois je ferai l’inverse me reste plus qu’à la reprendre !
Je peins l’intérieur de ces pièces en noir mat 33 (H) puis pour le fameux filet incriminé plus haut qui borde le carénage, en noir semi brillant 85 (H). Les pièces A7 et A 45 sont traitées avec mon carbone maison. Le bas de carénage (G4-G8-G11) est peint en noir TS 14 (T), l’intérieur étant traité en noir mat 33 (H)
Pour le traitement de la selle (G15), je procède ainsi:
J’enduis cette dernière de colle liquide que je laisse un peu sécher avant de tapoter avec un kleenex ; cela donne l’aspect cuir à la pièce. Ensuite, je l’apprête puis la peint noir mat TS 6 (T).
Après le reste n’est qu’assemblage et pose de décalques, pour certains l’utilisation d’assouplisseur s’impose mais dans l’ensemble ceux-ci sont sans commune mesure avec ceux de ma précédente réalisation, la Honda RC 211V aux couleurs « TELEFONICA ». Je dis merci à la société «Cartograf» !
Je vous laisse juges du résultat obtenu. Mais, sachez que j’ai pris un maxi plaisir à la réalisation de celle-ci tant sa construction fût sans réelles difficultés ! ….
Et comme disait l’autre : «  I’ll be back ! » 

 

Photos Finales